L'INDE >> Nord et Sud
JEUX : |
1) QCM sur les instruments : reconnaissance visuelle |
2) Jeu sur les familles d'instruments | |
3) Le jeu du pendu | |
4) Jeu d'écoute et de reconnaissance auditive d'instruments | |
5) QCM général, ... | |
6) Anagrammes | |
7) Mots-mêlés |
En Inde, l'Art est étroitement lié
à la religion. La musique tient une place privilégiée dans
la culture indienne.
Elle est considérée comme un art divin et il est dit que : "La
musique est née du dieu Shiva lui-même ; elle constitue un miroir
de la nature et de la vie sous toutes ses formes paisible, passionnée
et sombre. C'est la plus haute expression des émotions et des sentiments."
Cette définition, issue d'un texte vieux de près de 2000 ans,
nous montre le lien indissociable entre la musique et la religion.
La musique indienne s'est divisée en deux grandes écoles
au cours de son histoire : hindoustanique (au nord, qui a subit l'influence
perse et arabe) et carnatique (au sud, qui a conservé le plus d'éléments
d'origine). Mais la base reste la même : le râga (la mélodie)
et le tâla (le rythme).
En outre, cette musique ancestrale est bien plus qu'une musique traditionnelle
improvisée ...
En savoir plus > HISTORIQUE :
Depuis plus de deux mille ans, l'Inde est l'un des principaux foyers d'influence
musicale en Asie. En Inde, la musique, comme d'autres formes d'art ne connaît
pas de vraie division entre l'expression artistique et l'expression religieuse.
Le musicien considère son art comme une voie sure et respectée
vers la réalisation de la divinité.
L'importance de la musique dans la culture hindoue peut être attestée
au moins dès la période védique (environ 2000 -1500 à
500 av. J.-C.) Le chant védique, avec sa notation ancienne et son intonation
précise, pourrait bien représenter la tradition musicale continue
la plus ancienne du monde.
La tradition védique : Certaines des principales caractéristiques
de la tradition védique demeurèrent des concepts fondamentaux
de la musique indienne classique, tandis que des styles complexes commençaient
à s'épanouir et se multiplier dans maintes cours princières.
Elles incluent une extrême précision de hauteur de ton, la clarté
de tonalité, des principes de rythmes fondés sur la longueur de
la syllabe plutôt que sur l'accent dynamique, un système de mélodie
fondamentalement diatonique et modal, et le procédé mathématique
de permutation appliqué à la réorganisation continuelle
d'une suite d'éléments de base. Cette dernière pourrait
impliquer, par exemple, l'exploitation des possibilités de combinaison
d'un nombre limité de tons dans différentes séquences mélodiques.
Traditionnel également est l'usage de gestes du corps pour souligner
une phrase rythmique ou une ligne mélodique.
Les traités de musique, danse et art théatral, dont le premier
connu est le Natyashastra, de Bharata (rédigé vers le IIème
siècle après J.-C., ou peut-être plus tôt), définissent
avec précision la théorie et la pratique musicales. Le Natyashastra
traite la musique comme l'un des nombreux éléments unis dans le
drame, mais les textes ultérieurs en font un sujet distinct. Le plus
important est le Sangitaratnakara (XIIIème siècle ).
Les instruments de musique – tambours, instruments à cordes (sans
doute des harpes ) et flûtes – sont mentionnés dans les hymnes
védiques. Les bas-reliefs du IIème siècle av.
J.-C. environ de Bharhut, Sanchi ou Amaravati offrent un témoignage d'une
tradition déjà développée de musique et de danse
de cour. L'orchestre, habituellement représenté dans de gracieuses
sculptures, se compose d'une ou plusieurs harpes arquées, d'une flûte,
d'un ou de plusieurs tambours, et parfois d'un luth à long manche. Souvent,
il accompagne un groupe de trois ou quatre chanteuses, dont l'une bat la mesure
avec des cymbales à main, et l'on voit parfois aussi évoluer une
danseuse soliste ou un petit groupe de danseuses. L'épopée tamoule
du IIème siècle apr. J.-C., le Shilappadikaram («le
lai de l'anneau ») et les poèmes et drames de Kalidasa décrivent
ces spectacles.
(© Hachette Multimédia)
Instruments traditionnels : En
Inde, parmi le chant, la musique et la danse, les trois principes de la "sangita"
indienne, c'est la musique instrumentale qui tient la première place.
L'Inde fonde sa classification sur le mode d'attaque du son qui répartit
les instruments en 4 catégories :
1- Tata : instruments à cordes, les instruments mélodiques,
proches du style vocal. (Tan : tendre)
2- Avanaddha (> couvert) : instruments à percussion, membranophones,
tambours. (Avanaddha : couvert)
3- Ghana (> plein) : instruments à percussion, idiophones, qui n'ont
pas besoin d'être accordés une fois fabriqués (comme les
cymbales par exemple).
4- Sushira ou susira : instruments à vent, flûtes. (Sushira : creux)
Mais nous les avons classé ici de manière occidentale, c'est-à-dire
en trois familles :
PS : Vous pouvez aussi entendre le sitar et le tanpura dans une chanson de variété de Claude FRANCOIS >> " ".
Les "râga" de l'Inde correspondent à la mélodie. Ce sont des échelles modales, des gammes, des ensembles de notes dont les mouvements mélodiques ne se combinent que pour charmer l'esprit. En effet, étymologiquement raga signifie "ce qui plaît" ; il est un état d'âme avec pour objectif de susciter ... La légende dit qu'il existe 16108 modes car le Dieu Krishna a eu 16108 maîtresses ...
Les textes anciens considèrent généralement la musique sous deux aspects : gita (chant) et vadya (instrument). La base du système musical est la voix, utilisée comme un instrument. Les paroles jouent un rôle secondaire, souvent ce sont quelques mots répétés indéfiniment.
Dans le nord de l'Inde, il existe quatre genres de musique vocale :
1- Le plus ancien est le dhrupad (ses origines remontent au XVème
siècle), qui peut aussi être instrumental. Il chante le thème
unique de l'amour mystique et se développe à l'intérieur
de dynasties musicales vani.
2- Plus enjoué, le khyal permet plus de virtuosité dans
les tana, traits mélodiques aux mélismes de plus en plus rapides
et de plus en plus mêlés, dans une sorte de délire mélodico-rythmique,
en fait rigoureusement contrôlé.
3- Il existe d'autres formes plus légères : le thumri,
le tarana et le ghazal. Tout comme le khyal, ces genres peuvent
être instrumentaux.
4- Le dernier genre vocal est le bhajan : chant religieux hindouiste
souvent dédié à Krishna. La prédominance de la voix
ne signifie pas pour autant que la musique instrumentale est mineure.
Danses : Comme la musique,
les danses indiennes sont indissociables de la religion. Il est dit que la danse
classique indienne aurait pour origine la célèbre danse Tandava
du Seigneur Shiva. Le dieu Shiva, maître de la danse aurait enseigné
cet art aux hommes.
Une de ses représentations les plus connues est celle de la posture de
Nataraja, le Seigneur de la danse : Les éléments de cette sculpture
sont très symboliques.
- La main droite supérieure tient un tambour en forme
de sablier qui symbolise le Son et la Création.
- La main supérieure gauche tient une flamme qui symbolise le Feu et
la Destruction.
Ces deux mains ensemble symbolisent l'équilibre entre la Création
et la Destruction, le Son contre le Feu.
- La deuxième main droite à la gestuelle rassurante offre la protection,
la paix et la bénédiction.
- La deuxième main gauche pointant vers son pied gauche levé,
signifie la Délivrance, le salut des dévots, l'union avec l'Absolue.
Le personnage sur lequel danse Nataraja représente l'ignorance.
L'halo de feu symbolise l'Univers et son processus vital qui n'a ni commencement
ni fin.
Les différentes formes de danses classiques indiennes obéissent
à des règles très strictes concernant les mouvements et
la rythmique. Ces règles furent codifiées dans le Natyashastra
de Bharata, un traité écrit entre 300 BC et 500 AD sur les Arts
Dramatiques dont la danse et la musique.
La danse comme la musique est l'expression d'une émotion, ou ras, que
le danseur crée en retour dans l'esprit du spectateur. Chaque élément
est défini et codifié : les émotions, les postures, les
expressions du visage, la gestuelle des mains et de la tête, les déplacements
des pieds...
Il existe 4 formes principales de danses classiques indiennes ...
Plusieurs régions de l'Inde et même des villages ont donné naissance à d'autres formes de danses telles que :
Il y a aussi de nombreuses danses régionales et folkloriques.
Aussi, amad est un morceau traditionnel de danse, rythme caractéristique joué aux tablas.
Pourquoi certaines danses se pratiquent avec des masques ? Ces danses sont en l'honneur du dieu Shiva. On dit que Shiva en faisant l'amour (à Parvati ?) est devenu un géant, son sperme tombant sur le sol a fait pousser 3 arbres ; les masques sont fabriqués en bois d'un des 3 arbres, ils sont sacrés et abritent un esprit. On retrouve cela en Indonésie, dans l'île de Bali.
PS : Merci à Bertrand AGOSTINI pour
les informations concernant notamment la danse.
Pour en savoir plus > CD-Rom
"Antara".
Rythme = tala (ou tâla ou tal ou thalam) :
La musique indienne est construite sur des codes complexes et précis,
pourtant le rythme indien n'est pas que théorie, c'est véritablement
de la musique expressive avec une large part d'improvisation ...
Les tals sont des motifs rythmiques complexes divisés en vibhagas
ou anga. Chaque vibhaga ou anga peut avoir entre deux et cinq
matras. Le matra est l'unité de base de la rythmique.
Il mesure l'intervalle entre deux battements d'un tal.
Exemples de rythmes
: |
||
Onomatopées |
Partition |
Ecoute |
T 16 temps > Tintal (16 matras divisibles en 4 bivags) |
||
Ta di gui
na Ta di gui na toum Ta di gui
na toum (ou Té ré ké té Té ré ké té djoum Té ré ké té djoum) 9 temps > Tiaille (phrase rythmique répétée 3 fois) |
||
Ta djoum ta
ki ta djoum 5 temps PS : Ce rythme peut se doubler |
||
Ta ka
di mi Ta ka di mi djoum 3 temps et demi |
PS : Il existe des compositions où l'on utilise les deux mains sur un seul tambour : le dohatu.
Les notes et la mélodie = Raga :
Un raga est un concept relativement abstrait. Nous pouvons lire dans le texte Sangeeta Darpana (Texte de théorie musicale datant du 17ème siècle) : "Un raga est un arrangement particulier de sons dans lequel les notes et les mouvements mélodiques apparaissent comme des ornements enchantant l'esprit". Un raga se définit mieux par ce qu'il cherche à produire, c'est à dire créer une émotion particulière sur l'auditeur, plus que par ce qu'il est. Précisons que la musique classique indienne définit neufs émotions appelées ras.
Les combinaisons mathématiques donnent donc 16108 possibilités de modes (cf. les 16108 maîtresses du Dieu Krishna) Mais les musiciens actuels ne pratiquent environ que trois cents compositions modales ... (C'est déjà pas mal !)
Comme dans la musique occidentale, il existe bien 7 noms de notes. Mais il en existe en fait beaucoup plus que 7, et même plus que les 12 demi-tons de la musique savante occidentale ! En effet, en Inde du Nord, il existait autrefois une division de l'octave en un nombre plus important de subdivisions ou shruti. La plupart des spécialistes s'accordent sur le fait de l'existence d'une subdivision en 22 shrutis mais d'autres parlent de 24, 44, 49, 66 shrutis ! Ainsi, on pourrait penser que l'octave utilisé dans la musique indienne classique se divise en 22 micro-intervalles (ou micro-tons) ... Mais cela n'est plus d'actualité, tous les musiciens actuels reconnaissant l'existence de douze swaras (notes) issus de la gamme non tempérée.
Les diverses gammes modales, appelées raga à partir de la période médiévale, sont composées d'un choix de cinq, six ou sept de ces shruti organisés en progression d'échelle modale. Les échelles ascendante aroha et descendante avoroha et l'intervalle entre les notes du mode ne sont pas toujours semblables. Les raga reposent sur l'émotion, et certaines notes peuvent être abaissées ou montées pour donner plus d'effet mélancolique ou de brillance. Pour définir les modes, un motif de mélodie caractéristique pakad est nécessaire dans le sens où il sert de principe directeur à l'improvisation.
Ainsi, les sept notes (svara) de la gamme sont nommées : shadja (la tonique), rishabha, gandhara, madhyama, panchama (la quinte), dhaivata et nishada. Depuis des temps très anciens, un système de solfège fondé sur les noms des sept svara (sha ou sa, ri ou re, ga, ma, pa, dha et ni) a été utilisé en Inde tant comme notation que dans la composition et l'improvisation vocale. À part sa et pa, les notes peuvent se jouer sur deux ou trois tons différents ; rappelons que la musique indienne est modale.
NB : Cette correspondance avec l'échelle
tempérée occidentale est bien sûr approximative. En fait,
c'est légèrement différent ; par exemple :
- Ga correspond à Mib ou légèrement en-dessous,
ga correspond à Mi ou légèrement au-dessus.
- Dha correspond à Lab- ou Lab,
dha correspond à La ou La+.
En savoir plus :
L'octave occidentale ( do ré mi fa sol la
si do ) est appelée ashtak dans la musique indienne. Mais ce
terme est peu employé car les musiciens indiens parlent plutôt
des sept notes non répétées (do ré mi fa sol la
si) soit saptak (asht signifie huit et sapt signifie
sept).
Les sept notes de la saptak sont les suivantes
: SA RE GA MA PA DHA NI
Elles correspondent à peu près aux sept degrés de l'échelle
occidentale. Leur noms viennent des mots Shadjam (Sa), Rishabam (Ri ou Re),
Gandharam (Ga), Madhyamam (Ma), Panchamam (Pa), Dhaivatham (Dha) et Nishadam
(Ni).
Comme dans l'échelle occidentale des subdivisions entrainent l'apparition
de notes supplémentaires utilisables par le musicien (ce sont les touches
noires du piano par exemple). L'ensemble des notes jouables par le musicien
(touches noires et blanches du piano) sont les swaras. Il y en a douze : SA
RE RE GA GA MA MA' PA DHA DHA NI NI SA (Les notes soulignées indiquent
un bémol et le MA' indique un dièse.)
Fréquence et tempérament : Dans
la musique occidentale, toutes les notes occupent une place bien précise
dans le spectre des fréquences (le La est fixé à 440 hertz).
Dans la musique indienne, l'exécutant fixe lui-même la position
du SA et accorde son instrument à partir de cette note dont il a décidé
de la fréquence. Ainsi, un SA, peut tout aussi bien être un do,
un sol, un ré bémol ou tout autre chose entre deux degrés
de notre échelle occidentale.
Ce fait a pu laisser penser que la musique indienne est
une musique microtonale, ce qui est inexact. Elle respecte la subdivision en
demi-tons (les douze swaras), qui, dans quasiment toutes les cultures, est utilisée,
car, la plus à même d'être harmonieuse...
La musique archaïque indienne de type védique, à l'origine
du système des ragas, n'utilisait que sept mêmes swaras au lieu
de douze. Mais ces sept swaras n'étaient pas le résultat d'une
division par sept de l'octave mais bien de sept notes parmi les douze de la
subdivision en demi-tons. Le chants védiques plus anciens encore n'utilisaient
que trois mêmes swaras parmi les douze, certaines musiques chinoises n'en
utilisent que cinq, etc...
Selon le raga joué et le caractère qu'il doit développer, l'écart entre les swaras n'est pas toujours le même, y compris pour un même thaat (mode). Les swaras peuvent alors ne pas correspondre exactement à la subdivision naturelle de l'octave de la gamme non tempérée. Cette déviation s'appelle gamaka et est le coeur et le principe fondamental de l'exécution des ragas.
En musique carnatique, il y a 72 ragas de base (les melas)
sur lesquelles sont construits les autres ; en musique hindoustanique, il y
en a 10.
Le musicien doit suivre ce mode pour établir son interprétation
et sa composition. Il est important de noter que l'improvisation joue un grand
rôle dans la musique indienne et que l'habileté du musicien à
improviser sur un raga montre sa maîtrise et sa créativité.
Ainsi, un raga est une courte trame mélodique, une sorte de gamme modale,
composée de cinq à sept notes de musique. Mais c'est plus qu'une
simple succession de notes car il indique aussi la manière dont les notes
seront jouées et l'humeur du musicien. Le raga est lié à
une émotion, à une saison ou à un moment de la journée.
Exemples > Dans la musique d'Inde du Nord il y a dix thaat (modes) qui sont nommés ainsi :
Les concerts et déroulement d'un raga :
La musique carnatique a été unifiée au début
du siècle. Le cours d'un concert suit un développement assez précis.
- Il commence souvent par un varnam qui va en quelque sorte présenter
le raga. Il est joué en deux parties : le purvanga et l'uttaranga.
- Vient ensuite le kriti, joué sur un raga et un tala fixe. Le kriti
est lui aussi composé de plusieurs parties : le pallavi, l'anupallavi
et le charanam.
-
La fin d'un concert est en général composée
par un ragam (improvisation sur un raga sans percussion), un tanam
(une autre improvisation) puis un pallavi (mélodie pré-composée
avec percussion).
Quelques grands musiciens et compositeurs de musique carnatique
: Tyagaraja, Shyama Sastri, Muthuswamy Dikshitar, Swati Tirunal, Uttukadu Venkatasubbaiar,
Mysore Vasudevachar, Narayana Teertha, Gopala Krishna Bharati.
À l'inverse, la musique hindoustanique n'est pas unifiée.
Elle est traversée par de nombreux genres (les gharanas). Chacun
d'eux portent un nom (Dhrupad, Khyal, Thumri, Tappa,
etc...) et ils ont un des styles et des compositions différents.
-
Le concert
commence par un alap sur un rythme lent, puis vient ensuite un jhod
et un jhala dont le rythme augmente à chaque fois.
-
La seconde
partie du concert est formée d'un gat où les percussions
entrent en jeu sur un tala choisi. L'artiste peut improviser sa mélodie
mais il reste attaché au tala.
Quelques grands maîtres de musique hindoustanique et leurs
instruments : Ustad Bismillah Khan (shennai), Pandit RAVI SHANKAR (sitar), Ustad
Ali Akbar Khan (sarod), Pandit Shivkumar Sharma (santoor), Pandit Ram Narayan
(sarangi), V.G.Jog (violon), et Ustad Alla Rakha (tabla).
Titre
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Interprète
|
Écoute
|
Commentaire
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---|---|---|---|
Sitar | Pandit RAVI SHANKAR | Inde du Nord | |
Tablas |
1> Variation binaire sur le rythme Tintal (16 matras, 4 bivags, 1 khali). 2> Accompagnement d'un sitar. |
||
Kriti, Raga Kalyani, Tali Adi | Damal Krishna PATTAMAL | Chant | |
... | ... | Danse |
PS : Merci à Christophe POYAU pour les extraits sonores et les illustrations des jeux.
Voyager : Les musiques, où les rencontrer ?
Dans les petites villes ou villages, de petits
groupes de musiciens, souvent amateurs, perpétuent un répertoire
de chansons folkloriques et se produisent volontiers à la demande des
visiteurs ; ils sont souvent accompagnés de danseurs ou de spectacles
divers (marionnettes, par exemple).
Se renseigner également sur les fêtes locales ou religieuses qui
donnent lieu à des réjouissances auxquelles participent souvent
des musiciens.
Ne pas hésiter enfin, si on le fait avec suffisamment de respect et de
discrétion, à pénétrer dans les temples où
l'on entend de la musique.
Dans les grandes villes, il est fréquent de pouvoir assister à
des concerts de musique classique ou à des festivals.
+ Pour en savoir plus :
+ Un logiciel "SwarShala" pour apprendre le tabla. Version démo téléchargeable !
Contes pédagogiques :
Pour nous écrire : >> N'hésitez pas à nous proposer un site consacré à la musique et aux danses traditionnelles de l'Inde, ou des informations pédagogiques complémentaires concernant cette région ...
À venir : Un cours à télécharger sur la musique classique traditionnelle indienne : fiches pédagogiques ...
Et maintenant, à vous de jouer !
Page réalisée avec l'aide des
webmasters de divers sites :
Christophe POYAU pour http://perso.wanadoo.fr/bharat/,
Hervé LAURET pour http://musique.indienne.free.fr,
et Bertrand AGOSTINI pour www.e-antara.com.
Merci à eux !
© PLANTEVIN.